Nombre Parcourir:0 auteur:Éditeur du site publier Temps: 2025-10-24 origine:Propulsé
À la mi-octobre, le ministère de l'Écologie et de l'Environnement a approuvé les demandes d'ajustement de 20 entreprises de leurs quotas de production d'hydrofluorocarbures (HFC) pour 2025. Cet ajustement, plutôt qu'une expansion globale, représente une réallocation structurelle au sein de l'industrie, entraînant une augmentation nette de 24 397 tonnes de quotas pour huit principales variétés de HFC.
Ajustement de base : la hausse du R32 et le déclin du R125
Cet ajustement démontre clairement une tendance divergente de la demande, avec trois réfrigérants majeurs définissant le paysage :
Le R32 (HFC-32) a connu une augmentation significative de ses quotas de 25 007 tonnes, devenant ainsi le plus grand gagnant et soulignant sa forte demande en tant que réfrigérant courant pour les climatiseurs.
Le R134a (HFC-134a) a vu son quota augmenter de 5 747 tonnes, démontrant une forte demande continue pour ses applications dans la climatisation automobile et d'autres applications.
Le R125 (HFC-125) a vu son quota diminuer de 7 385 tonnes, principalement en raison de son utilisation principale dans les mélanges (par exemple, le R410A) et de la pression sur son marché d'exportation en raison des restrictions sur les produits à fort PRG en Europe et aux États-Unis.
Perspectives d’avenir : équilibre serré et prospérité à long terme
Cet ajustement des quotas confirme en outre que, sous les contraintes strictes des contrôles des quotas du côté de l'offre, l'industrie des réfrigérants, en particulier les produits courants comme le R32 et le R134a, devrait maintenir un équilibre serré entre l'offre et la demande.
Avec la réduction accélérée des réfrigérants de deuxième génération (HCFC) et la croissance constante de la demande mondiale, les principales entreprises bénéficiant d'avantages en matière de quotas devraient continuer de bénéficier de la grande prospérité du secteur. Par conséquent, l’augmentation nette de 24 397 tonnes ne représente pas une aubaine universelle pour l’industrie, mais plutôt un modèle dans lequel les forts prévalent et les sages survivent.